JMA Plus
Caritas Bénin
Caritas Bénin
Depuis 1958 Caritas Bénin, apporte son soutien aux populations les plus démunies. Le réseau Caritas Bénin est composée d’une Direction Nationale et de 10 Caritas diocésaines, des délégations diocésaines, paroissiales et villageoises. Les actions de l’organisation sont appuyées par l’engagement de 6000 bénévoles et par les orientations pastorales de la Conférence Episcopale du Bénin.
Fort de ce réseau, ce service d’Eglise intervient sur tout le territoire béninois pour porter la mission de « Témoigner de l’amour de Dieu (act 1, 8) afin de promouvoir la charité et la justice en vue d’assurer le développement intégral de tout homme et de tout l’homme en travaillant pour la réduction des inégalités sociales ».
Caritas Benin croit en la dignité de la personne humaine, en la solidarité, en la justice sociale et dans les capacités des plus vulnérables. C’est pourquoi elle agit chaque jour pour donner vie à ces valeurs. Grâce à son action pour permettre l’accès aux services sociaux de base, ses réponses et sa prévention des urgences, ses projets de développement et son travail de plaidoyer, elle contribue à rendre le pays plus proche de cet idéal qu’elle poursuit.
Slide_1
Acteurs
Caritas Africa est l’instance de coordination des 46 Caritas d’Afrique et de l’Océan Indien. En raison de moyens insuffisants, Caritas Africa a confié, dès 2006, la mise en œuvre de ce programme au SC-CF. Caritas Africa a participé activement au processus de Développement Institutionnel et de Renforcement Organisationnel lors de la phase 2 du programme actuellement en cours. Afin de reprendre le portage politique et opérationnel de ce programme à l'horizon 2019, elle bénéficie aussi d'un accompagnement en renforcement des capacités.
Les Caritas du Bénin, Burkina Faso, Burundi, Centrafrique, Comores, Côte d’ivoire, Madagascar, Mali, Niger, République du Congo, République Démocratique du Congo, Sénégal, Tchad, et du Togo sont à l’origine de la demande. Ce sont des organisations locales de la société civile, officiellement reconnues, fortement engagées. Ces Caritas sont composées d’une Caritas nationale et de plusieurs Caritas diocésaines et locales. Elles constituent un réseau de solidarité très développé et structuré qui bénéficient d’un maillage territorial important grâce à leur statut de service d’Eglise. Ainsi, les actions menées à long terme se déroulent aussi dans des zones difficiles d’accès et souvent peu fréquentées par les autres organisations humanitaires.
Partenaires
Le Secours Catholique-Caritas France (SC-CF) travaille depuis plusieurs décennies avec les organisations Caritas des 14 pays membres du programme en Afrique francophone et dans l’Océan Indien. Ces organisations sont accompagnées tant au plan national, diocésain que local. Leurs relations et l’appui du SC-CF portent tant dans les champs du plaidoyer, du développement, de l’urgence que de la réhabilitation. Il est parfois complété par un appui institutionnel.
Le SC-CF met en œuvre, suit et coordonne le programme depuis 2006. Il accompagne le processus dans une approche globale, puis personnalisée en tenant compte des réalités contextuelles, des capacités et du niveau de développement de chaque Caritas. Il crée les conditions nécessaires à son bon fonctionnement. Il facilite la capitalisation, le partage du savoir et la concertation des différents acteurs. Il assure la communication interne et externe de ce programme.
Les partenaires du programme sont avant tout les 14 Caritas membres du programme, à savoir Caritas Bénin, Burkina Faso, Burundi, Centrafrique, Comores, Côte d’ivoire, Madagascar, Mali, Niger, République du Congo, République Démocratique du Congo, Sénégal, Tchad, et Togo. Leurs activités bénéficient aux populations les plus vulnérables des 14 pays concernés par l’action, sans distinction d’ethnie ou de religion.
Dès lors, travaillent dans le programme en partenariat associations Caritas des 14 pays et Caritas Africa. Au sein de chaque pays, elles sont composées d’une Caritas nationale (principalement structure de coordination) et de Caritas diocésaines (opérationnelles).
Quel que soit le pays concerné, la mission et la structuration de ces associations Caritas sont sensiblement les mêmes. Elles mettent en œuvre dans leurs pays respectifs, des programmes de lutte contre la pauvreté, pour certaines d’entre elles depuis plus de 50 ans. Elles comptent parmi les associations les plus importantes de leur pays, en termes de nombre de bénéficiaires touchées, de fonds mobilisés, de salariés et de couverture du territoire national.
Elles mettent en œuvre au niveau régional, voire national, principalement des programmes de développement sectoriels : sécurité alimentaire, santé, éducation, eau et aissainissement, développement urbain, Droits de l’Homme, paix et démocratie. Elles couvrent aussi ces thématiques dans des programmes d’urgence et de réhabilitation.
Le programme A2P DIRO est un programme d’accompagnement personnalisé et de proximité. Antérieurement, le SCCF accompagnait principalement les Caritas sur les projets et programme qu’il finance. Le programme A2P-DIRO est venu bousculer la donne, en proposant un programme multi-pays et multi-acteurs se centrant sur le renforcement des organisations et non plus uniquement sur l’appui aux projets.
L’accompagnement A2P-DIRO est fondé sur des valeurs partenariales partagées :
L’intérêt mutuel : Le partage commun d’intérêt dans la durée et la confiance
L’égalité : Pour permettre à toutes les Caritas d’être sur un pied d’égalité, l’appui institutionnel doit être une nécessité.
La subsidiarité : Tout ce que les individus, seuls ou en groupe, peuvent accomplir par eux-mêmes, ne doit pas être transféré à l’échelon supérieur.
La coopération : Le partenariat ne correspond pas à un simple transfert financier du nord vers le sud, il implique un échange de savoirs, de pratiques, de techniques.
L’imputabilité : Chacune des parties s’engage à rendre compte des responsabilités respectives sur lesquelles elles se sont mises d’accord.
La réciprocité : Un partenariat s’inscrit dans un processus évolutif, chaque partie prenante étant censée se renforcer et donc évoluer au contact de l’autre.
Objectifs
Depuis 2006, le SC-CF répond à l’objectif de Développement Institutionnel et Renforcement Organisationnel de ses partenaires Caritas en Afrique.
Un premier projet pilote (2006-2010), financé sur fonds propres par le SC-CF, portait sur le développement organisationnel et institutionnel de 5 Caritas (Bénin, Centrafrique, Congo Brazzaville, Madagascar et Mali) basé sur la « méthode DIRO »1. S’en est suivi la Phase 1 (2011-2015) du programme cofinancé par l’Agence Française de Développement (AFD). Cette première convention-programme cofinancée par l’AFD a ajouté à la méthode DIRO un accent particulier sur l’Accompagnement de Proximité Personnalisé (A2P) de 11 Caritas.
La capitalisation d’expérience, la mise en réseau, les échanges d’expériences entre pairs ont été très moteurs.
La Phase 2 du programme A2P DIRO (2016-2018), également cofinancée par l’AFD, permet de poursuivre l’autonomisation des Caritas parties prenantes. L’accent est mis sur les acteurs (responsabilisation suivant la théorie du changement) et sur la montée en puissance du réseau Caritas au niveau suprarégional, notamment à travers le management des connaissances.
L’approche « orientée changement »
La Phase 2 a été élaborée à partir des principes de la théorie du changement où les acteurs ont été repositionnés au centre du processus.
En septembre 2014, les Présidents et Secrétaires Généraux des 11 Caritas, des 3 nouvelles Caritas et de Caritas Africa, ont procédé à l’identification des chemins de changements spécifiques à chaque Caritas.
Objectifs
Objectif Global
Participer à l’élimination de la pauvreté et contribuer à réduire les inégalités en renforçant la société civile africaine pour promouvoir l’avènement de sociétés pacifiques, ouvertes à tous aux fins du développement durable, assurer l’accès à tous à la justice et contribuer à prôner, à tous les niveaux, des institutions efficaces, responsables et ouvertes à tous.
Objectif Spécifique
Ce programme accompagne les processus de développement des Caritas afin qu’elles deviennent des acteurs reconnus et actifs de leur société civile, capables d’influencer les décideurs politiques et de mener des actions pertinentes, efficientes et efficaces dans l’élimination la pauvreté.
Vision stratégique
La vision stratégique de ce programme a été définie en septembre 2014 par les acteurs du programme eux-mêmes, à savoir les Présidents et Secrétaires Généraux des 11 Caritas et des 4 nouvelles.
Ce programme répond au souhait de développement institutionnel et organisationnel de chaque Caritas, processus pleinement porté par ses leaders. Les Caritas nationales assurant la coordination du réseau régional (diocésain) et local. C’est l’ensemble du réseau Caritas au sein d’un pays qui sera impacté par ce programme.
Présentation du programme A2P DIRO
Ce programme multi-acteurs et multi pays intervient dans 14 pays d’Afrique francophone et de l’Océan Indien: Bénin, Burkina-Faso, Burundi, Centrafrique, Comores, Congo Brazzaville, Côte d’Ivoire, Mali, République Démocratique du Congo, Madagascar, Niger, Sénégal, Tchad et Togo et en France. Il impacte également la coordination continentale Caritas Africa.
Le programme touche l’étendue des territoires de ces 14 pays africains dans la mesure où l’activité des 14 Caritas concernées est d’ampleur nationale. La coordination nationale de chacune de ces Caritas est basée dans la capitale (politique ou économique): Cotonou, Ouagadougou, Bujumbura, Bangui, Moroni, Brazzaville, Abidjan, Bamako, Kinshasa, Antananarivo, Niamey, Dakar, Ndjamena et Lomé.
Ce programme succède à une première phase cofinancée par l’AFD de septembre 2011 à décembre 2015.
À la fin de cette deuxième phase (2016-2018), il sera envisagé une troisième et dernière phase dans la perspective de transférer la gouvernance du programme à l’organisation Caritas Africa, tête de réseau continental.
Contexte et Enjeux du programme
Les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) lancés par les Nations Unis en 2000 arrivent à leur fin en 2015. Le rapport 20151 des Nations Unies stipule que le déclin de la pauvreté s’est accéléré au cours de la dernière décennie cependant les progrès sont encore insuffisants en Afrique. « Toutes les régions en développement, excepté l’Afrique subsaharienne, avaient atteint fin 2011 la cible visant à réduire de moitié la proportion de personnes vivant dans une extrême pauvreté ». « Plus de 40 % de la population d’Afrique subsaharienne vit toujours dans une extrême pauvreté en 2015 » et c’est en « Afrique subsaharienne où la pauvreté est la plus sévère ».
Par ailleurs, l’Afrique et l’Océan Indien ont connu et connaissent une succession de crises qui les ont conduits à une fragilisation des États, minés entre autres par la mauvaise gouvernance, la corruption et la gabegie. Les populations africaines font face à une administration défaillante et qui assure difficilement le développement et la sécurité du pays. Les principaux indicateurs sociaux sont souvent alarmistes. Le taux de pauvreté est supérieur à 45% dans 12 des 14 pays concernés par le programme. Ces instabilités chroniques ont pour conséquences une mauvaise gestion, des intérêts partisans, un mal développement, un échec des processus démocratiques, des discriminations et des tensions interethniques et/ou interconfessionnelles.
Comme le soutient la communauté internationale, pour redonner espoir et répondre à ces problèmes, il est impératif pour les États de conduire des changements structurels profonds avec tous les acteurs de la société, afin de promouvoir l’avènement de sociétés pacifiques et ouvertes à tous, à des fins de développement durable. Sur le terrain, les 14 partenaires Caritas, au sein de leur Société Civile et en relation avec leur État, sont très engagés sur ces problématiques.
Les caritas
Contactez - Nous
Laissez-nous un message
Telephone
+228 22 21 99 09Adresse
735, boulevard des Armées – Tokoin CESAL - Lomé (Togo)Les principes d'intervention
« Caritas est la Parole vivante de Dieu dans les communautés pauvres du monde. Elle est comme une rivière d’amour et d’espoir qui s’écoule librement, nourrit et exerce un immense pouvoir naturel pour changer les choses ». Cardinal Luis Antonio Tagle
La doctrine sociale de l’Eglise Catholique défini dix principes qui guident sa pastorale sociale. Les Caritas partagent la mission de l’Eglise de servir les pauvres et de promouvoir la Charité et la Justice partout dans le monde à travers les principes suivants.
- Le principe de la dignité de la personne humaine.
- Le principe du respect de la vie humaine
- Le principe d’association
- Le principe de participation
- Le principe de la protection préférentielle des pauvres et des personnes vulnérables
- Le principe de solidarité
- Le principe de gérance.
- Le principe de subsidiarité
- Le principe de l’égalité humaine
- Le principe du bien commun
L’Enseignement Social de l’Eglise Catholique nous dit comment aimer notre prochain dans tous nos rapports sociaux, au sein de tous les groupes et de toutes les structures de notre société. Matthieu 25, « j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger », s’applique aussi bien aux divers groupes de la société qu’aux individus qui la composent.
Pour aller plus loin veillez consulter les documents en pièce jointe.
Les actions des caritas
1. Action 1
Il circule des centaines de versions différentes du Lorem ipsum, mais ce texte aurait originellement été tiré de l'ouvrage de Cicéron, De Finibus Bonorum et Malorum (Liber Primus, 32), texte populaire à cette époque, dont l'une des premières phrases est : « Neque porro quisquam est qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit... » (« Il n'existe personne qui aime la souffrance pour elle-même, ni qui la recherche ni qui la veuille pour ce qu'elle est... »).
Expert en utilisabilité des sites web et des logiciels, Jakob Nielsen souligne que l'une des limites de l'utilisation du faux-texte dans la conception de sites web est que ce texte n'étant jamais lu, il ne permet pas de vérifier sa lisibilité effective. La lecture à l'écran étant plus difficile, cet aspect est pourtant essentiel. Nielsen préconise donc l'utilisation de textes représentatifs plutôt que du lorem ipsum. On peut aussi faire remarquer que les formules conçues avec du faux-texte ont tendance à sous-estimer l'espace nécessaire à une titraille immédiatement intelligible, ce qui oblige les rédactions à formuler ensuite des titres simplificateurs, voire inexacts, pour ne pas dépasser l'espace imparti.
2. Action 2
Il circule des centaines de versions différentes du Lorem ipsum, mais ce texte aurait originellement été tiré de l'ouvrage de Cicéron, De Finibus Bonorum et Malorum (Liber Primus, 32), texte populaire à cette époque, dont l'une des premières phrases est : « Neque porro quisquam est qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit... » (« Il n'existe personne qui aime la souffrance pour elle-même, ni qui la recherche ni qui la veuille pour ce qu'elle est... »).
Expert en utilisabilité des sites web et des logiciels, Jakob Nielsen souligne que l'une des limites de l'utilisation du faux-texte dans la conception de sites web est que ce texte n'étant jamais lu, il ne permet pas de vérifier sa lisibilité effective. La lecture à l'écran étant plus difficile, cet aspect est pourtant essentiel. Nielsen préconise donc l'utilisation de textes représentatifs plutôt que du lorem ipsum. On peut aussi faire remarquer que les formules conçues avec du faux-texte ont tendance à sous-estimer l'espace nécessaire à une titraille immédiatement intelligible, ce qui oblige les rédactions à formuler ensuite des titres simplificateurs, voire inexacts, pour ne pas dépasser l'espace imparti.
3. Action 3
Il circule des centaines de versions différentes du Lorem ipsum, mais ce texte aurait originellement été tiré de l'ouvrage de Cicéron, De Finibus Bonorum et Malorum (Liber Primus, 32), texte populaire à cette époque, dont l'une des premières phrases est : « Neque porro quisquam est qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit... » (« Il n'existe personne qui aime la souffrance pour elle-même, ni qui la recherche ni qui la veuille pour ce qu'elle est... »).
Expert en utilisabilité des sites web et des logiciels, Jakob Nielsen souligne que l'une des limites de l'utilisation du faux-texte dans la conception de sites web est que ce texte n'étant jamais lu, il ne permet pas de vérifier sa lisibilité effective. La lecture à l'écran étant plus difficile, cet aspect est pourtant essentiel. Nielsen préconise donc l'utilisation de textes représentatifs plutôt que du lorem ipsum. On peut aussi faire remarquer que les formules conçues avec du faux-texte ont tendance à sous-estimer l'espace nécessaire à une titraille immédiatement intelligible, ce qui oblige les rédactions à formuler ensuite des titres simplificateurs, voire inexacts, pour ne pas dépasser l'espace imparti.